Passé

Les vertiges des lumières salées

De celles qui nous tourmentent encore

Comme des sauts irraisonnés

En un frisson d’ivresse et d’or

Sont trop intenses pour être vrais

Comme une drogue auto-produite

Mais quand chute la réalité

Ce sont nos mines déconfites

Qui traduisent une blessure naissante

Dans nos crânes à l’âme vacillante

Comments

[nico]

y'a un truc qui me dérange dans le rythme de tes phrases (ou plutôt dans le découpage je pense).
J'aurais envie que ça marche par groupe de 4, mais ta première phrase tient sur 6 strophes, et ça fait bizarre à la première lecture ...

(après si c'est un choix de construction du poète, je m'incline devant cette forme novatrice :D)